Biographie

"Les Yverdonnois auront donc le choix, le 9 février, entre des candidats qui souhaitent maintenir le statu quo et quelqu’un qui propose une autre façon de faire de la politique."
Enfant d’Yverdon, né d’une mère suisse et d’un père mauricien, j’ai grandi au quartier des Pugessies, puis vécu au centre-ville, aux Cygnes et dans d’autres quartiers, avant de m’installer dans le quartier des Moulins en 2017.
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Avant, pendant et après mes études d'économie, j’ai travaillé dans divers domaines de la sécurité : garde du corps, chef de sécurité dans des clubs, et consultant sur des questions de sécurité internationale pour des multinationales.
J’ai ensuite rejoint le secteur du négoce de matières premières, travaillant pour des entreprises de trading en énergie basées à Genève. C’est à cette période que je me suis installé au centre de Lausanne.
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En 2014, j’ai décidé de reprendre l’entreprise familiale, un EMS dans le canton de Neuchâtel, pour en assurer la continuité en y assumant quelques années la direction. C'est aussi à cette période que je me suis réinstallé à Yverdon que j’ai débuté mes activités politiques, en rentrant en 2016 au Conseil communal.
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Dans les années 2020, j’ai obtenu un master en sciences et organisation de la santé de l’Université de Lausanne, avec un travail de Master intitulé “L’impact économique du Covid-19 sur les hôpitaux en Suisse”. Cette formation m’a permis d’acquérir un solide bagage en santé publique, assurances sociales et gestion des systèmes de santé.
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Grand sportif, je pratique outre natation, musculation, sport de combat, roller, mais aussi yoga et apnée. Que ce soit ici en Suisse ou à l’île Maurice, l'eau est mon élément. Je crois que le sport est essentiel à l’équilibre du corps et de l’esprit, mais aussi pour bien vieillir
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Dans le cadre de mon engagement contre le deal de rue, j’ai passé beaucoup de temps au contact de toxicomanes et d’anciens toxicomanes. Cela m’a convaincu de la nécessité de réformer en profondeur la prise en charge de la toxicomanie. Le système actuel est devenu une partie du problème : il n’aide plus les gens à sortir des schémas addictifs et les enferme dans des dépendances médicamenteuses. J’ai pu faire le même constat lors de certains cours de santé publique que j'ai eu lors de ma formation : résumer la dépendance ou l’obésité à des maladies profite à l’industrie, mais pas aux patients, qui ont d'abord besoin d'apprendre à croire en eux.
Toute politique sociale devrait viser à apprendre aux gens à croire en eux-mêmes et ça on l'a malheureusement oublié.
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C’est pourquoi j’ai décidé de m'engager pour changer ça en me portant candidat à la Municipalité pour l’élection complémentaire de février 2025. Yverdon-les-Bains est une ville particulièrement touchée par le fléau de l’addiction. Mon objectif est d’apporter des solutions nouvelles et concrètes.
Les gens qui me connaissent savent que je fais les choses différemment. J’assume de faire de la politique autrement, car il est illusoire d’imaginer obtenir des résultats différents en continuant avec les mêmes recettes ou avec les mêmes personnes.
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Les Yverdonnois auront donc le choix, le 9 février 2025, entre des candidats qui souhaitent maintenir le statu quo et quelqu’un qui propose une autre façon de faire de la politique.